Déjà en 2003...

En janvier 2003, la direction française d'Arcelor, qui n'était donc pas encore avalée par Mittal, décidait froidement de ne plus investir dans la phase à chaud liégeoise. Pas moins de 2000 emplois directs et 5.000 indirects étaient irrémédiablement condamnés (Ci-joint, Le Soir du 23/01/2003).

Après un long combat syndical, qui a notamment permis de mettre sur cocon (et non de démanteler) le haut-fourneau 6 de Seraing, Mittal lança une OPA sur le groupe sidérurgique européen. La suite fut d'abord nourrie d'espoir, puis de révolte...

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